Succursale d’un Time qui a décidé d’ouvrir ses horizon dans les villes au plus haut taux de criminalité sous couvert d’un pseudonyme, les journalistes se trouvant là sont peu à connaître leur vrai employeur. Ces bureaux ouverts au public ont pignon sur rues.

Lorsque l’ascenseur monte à l’étage juridique, les portes s’ouvrent sur un coin accueil lumineux et sobre, dans les teintes claires. Quelques plantes placent un peu de vert et d’originalité, mais pas trop quand même. Les murs sont nus à l’exception de la salle d’attente, adjacente au bureau de l’accueil. Les murs portent au minimum un tableau, soit une peinture d’art, soit une photographie. Les bureaux sont aux même teintes que le reste de l’étage, mais encore plus lumineux grâce au mur de verre dans chacune des pièces. Ces derniers étaient modernes, classes et toujours sobre. Chacun avait sa petite touche, comme un mini cactus sur un coin du bureau ou une photo d’un proche encadrée, mais elles avaient toute la même base : bureau, armoires, ordinateur et compagnie.