Eirin & Peter

She’ll make me woff like a dog

Après ma visite dans le café d’Eirin ce matin, ça avait été juste impossible de me concentrer. Comment aurais-je pu alors que je ne cessais de l’imaginer nue criant son plaisir sous mon corps. Elle m’avait parlé de « coup de main » et forcément, j’y avais pensé non-stop. « coup de main » ou « coup de langue », honnêtement, elle aurait pu me faire ce qu’elle voulait. Pourtant j’avais bien dû me concentrer au final puisque j’étais tombé par hasard sur Thamara. Cette fille qui avait été avec Derek quand nous étions ados. J’avais joué avec elle à cette époque et malgré moi j’étais prêt à recommencer ce petit jeu maintenant encore. Derek cherchait toujours à me tester, à savoir ce que je valais réellement. Je savais qu’il tenait à Zoey et honnêtement, je doutais qu’il veuille que son ex refasse surface dans sa vie. Déjà qu’il galérait avec Zoey, qui était passer dans un espèce d’état second bizarre, alors ça m’étonnait sincèrement qu’il veuille se préoccuper de Thamara. Pas de soucis, je serais là pour recoller les morceaux.

Je suis rentré chez moi vers 20h, et je n’ai pas foutu grand-chose depuis, si ce n’est prendre ma douche. Alors que j’en sortais, une serviette lâchement attachée autour du bassin, tenant je ne sais comment, j’entendis quelqu’un frapper à la porte. Je tournais la tête vers l’horloge au-dessus du bar et lâchais un juron en remarquant qu’il était 20h30 passé. Ce devait être Eirin. M’enfin bon, ce n’était pas comme si elle allait se plaindre que je sois en serviette, loin de là même. Je me dirigeais alors vers la porte, faisant craquer mon cou d’excitation. J’ouvrais la porte et laissais mon regard se poser sur sa silhouette. Il fallait avouer qu’elle était bien loin d’être décevante. « Salut mon loup, heureux de me voir ? » me demanda-t-elle avec un petit sourire aguicheur et j’affichais un sourire en coin. « Oh, tu n’as pas idée à quel point.. » lui répondis-je d’un ton mystérieux. Je faisais un pas sur le côté afin de la laisser rentrer. « je t’en prie, entre » ajoutais-je la voix grave. Eirin entra donc et je refermais la porte derrière elle. A clés, évidemment. Elle se tourna vers moi et me montra une bouteille de champagne. Je lui lançais une moue satisfaite et lui pris la bouteille des mains avant de me diriger vers le bar. « Merci pour la bouteille chérie. Fais comme chez toi » lui dis-je en montrant du menton l’appartement. Je me retournais et pris deux flûtes à champagne.

Codes par Wild Hunger.

Eirin & Peter

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Je fis un pas sur le côté afin de la laisser rentrer. « Je t’en prie, entre » ajoutais-je la voix grave. Eirin entra donc et je refermais la porte derrière elle. A clés, évidemment. Elle se tourna vers moi et me montra une bouteille de champagne. « J’ai apporté de quoi nous abreuver » me dit-elle. Je lui lançais une moue satisfaite et lui pris la bouteille des mains avant de me diriger vers le bar. « Merci pour la bouteille chérie. Fais comme chez toi » lui dis-je en montrant du menton l’appartement. Je me retournais et pris deux flûtes à champagne. Alors que j’entreprenais de déboucher la bouteille, Eirin semblait curieuse de mon loft, regardant un peu partout. « Je suis ici de mon plein gré darling, pas besoin de verrouiller la porte, je ne vais aller nul part » me dit-elle et je souris alors en coin. Ça, je le savais très bien.

Le bouchon partit alors dans les airs pour atterrir dans le salon. Je m’en moquais finalement et remplissais les deux flûtes. « Je sais sweetheart. Je pensais plutôt à empêcher quiconque de rentrer » répondis-je en arrivant vers elle, les verres à la main. Je la vois dans le reflet de la fenêtre. God, isn’t she stunning that girl. Elle a ce qu’il faut où il faut. Elle a de l’humour, de l’arrogance et de l’ambition en elle, ce que j’apprécie particulièrement. « Le petit détail de ta tenue est très prometteur, je me demande comment ce petit bout de tissu arrive à s’agripper sur ces hanches délicieuses… » dit la blonde en se mordant la lèvre, me matant ouvertement. Et c’est dans ces moments-là que même si l’on a perdu son statut d’Alpha, on se sent comme l’homme le plus puissant du monde. J’haussais les sourcils de façon suggestive l’air de dire « va savoir… » en souriant de façon mystérieuse. « Je me demande pour tu es aussi habillée toi. Tu as trop de vêtements à mon goût » lui répondis-je en lui lançant un clin d’œil alors que je lui tendais sa coupe. Je devais avouer que l’idée de déchirer ses vêtements dans les prochaines secondes me tentait vraiment de plus en plus. Alors qu'elle prenait sa coupe, je décalais ma main sur lle côté et faisait ressortir une de mes griffes. Son haut se déchira légèrement près de son épaule et je pouvais voir sa peau dénudée. « Oops.. Ma main a tendance a être audacieuse parfois.. » ajoutai-je d'une moue faussement innocente alors que je sentais mon regard s'assombrir.

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Eirin & Peter

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Eirin et mi flirtions clairement ensemble et je voyais son regard deriver le long de mon corps. C’est dans ces moments-là que même si l’on a perdu son statut d’Alpha, on se sent comme l’homme le plus puissant du monde. J’haussais les sourcils de façon suggestive l’air de dire « va savoir… » en souriant de façon mystérieuse. « Je me demande pourquoi tu es aussi habillée. Tu as trop de vêtements à mon goût » lui répondis-je en lui lançant un clin d’œil alors que je lui tendais sa coupe. Je devais avouer que l’idée de déchirer ses vêtements dans les prochaines secondes me tentait vraiment de plus en plus. Alors qu'elle prenait sa coupe, je décalais ma main sur le côté et faisait ressortir une de mes griffes. Son haut se déchira légèrement près de son épaule et je pouvais voir sa peau dénudée. « Oops.. Ma main a tendance a être audacieuse parfois.. » ajoutai-je d'une moue faussement innocente alors que je sentais mon regard s'assombrir. Eirin décida alors de jouer à mon jeu sans doute puisqu’elle renversa –volontairement évidemment- du champagne sur son haut ce qui le rendit transparent. « Oh mince alors, que je suis maladroite ! » dit-elle d’un ton faussement innocent.

J’affichais alors un sourire en coin. This woman will be the death of me… Son débardeur est transparent et il lui colle à la peau, à ce niveau-là autant l’enlever. Alors que je m’apprètais à lui en faire la Remarque, elle plongea son regard dans le mien avant d’enlever son haut. En voilà une demoiselle qui prend des initiatives dis donc. Elle enlève ses chaussures par la même occasion et perd alors quelques centimètres. « Alors qu’as-tu fais de ta journée à part penser à mon corps contre le tien ? » me demanda-t-elle et je lui envoyai un sourire carnassier. « Rien de bien interessant tu sais. Penser à toi, faire ma fouine par-ci par-là, trouver des moyens de pression sur les gens… Je suis un homme très occupé » dis-je à moitié ironique en haussant un sourcil joueur. Eirin prit alors une gorgé de champagne et une goutte du liquide pétillant coula le long de sa gorge avant de s’aventurer dans la vallée de ses seins. « Tu sais, sous ma jupe, je suis comme toi sous ta serviette ! » dit-elle d’une voix aguicheuse alors que mon regard n’avait pas quitter une seule fois la goutte de champagne. Je sens mes entrailles se contracter à l’unique pensée de ce qu’il va se passer dans les minutes à suivre. Je m’avançais vers elle et lâchais ma coupe de champagne sur la moquette. Rien à foutre. Mon bras droit vint se glisser dans le bas de son dos et d’un mouvement sec je l’attirais contre moi. Mon autre bras vint frôler le ventre de la blonde en remontant vers sa poitrine où j’y cueillis la goutte de champagne avant de lécher mon doigt. « Chérie, j’espère que tu bosses pas demain matin parce que tu vas crier toute la nuit » dis-je en lui lançant un clin d’œil avant de fondre sur ses lèvres.

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Eirin me demanda ce que j’avais fait de ma journée et j’affichais un sourire en coin. « Rien de bien interessant tu sais. Penser à toi, faire ma fouine par-ci par-là, trouver des moyens de pression sur les gens… Je suis un homme très occupé » dis-je à moitié ironique en haussant un sourcil joueur. La bondinette pencha alors sa tête sur le côté. « Je connais la vie secrète de tout le monde… Donne-moi un nom et un moyen de pression je te donnerais… » me dit-elle et je lui envoyais un sourire satisfait. Et bien c’était certainement bon à savoir. Eirin prit alors une gorgé de champagne et une goutte du liquide pétillant coula le long de sa gorge avant de s’aventurer dans la vallée de ses seins. « Tu sais, sous ma jupe, je suis comme toi sous ta serviette ! » dit-elle d’une voix aguicheuse alors que mon regard n’avait pas quitté une seule fois la goutte de champagne. Je sens mes entrailles se contracter à l’unique pensée de ce qu’il va se passer dans les minutes à suivre.

Je m’avançais vers elle et lâchais ma coupe de champagne sur la moquette. Rien à foutre. Mon bras droit vint se glisser dans le bas de son dos et d’un mouvement sec je l’attirais contre moi. Mon autre bras vint frôler le ventre de la blonde en remontant vers sa poitrine où j’y cueillis la goutte de champagne avant de lécher mon doigt. « Chérie, j’espère que tu bosses pas demain matin parce que tu vas crier toute la nuit » dis-je en lui lançant un clin d’œil avant de fondre sur ses lèvres. Et là, ça dérapa. Elle passa ses mains dans mes cheveux pour approfondir le baiser alors que mes mains descendaient sur ses hanches pour la coller contre moi. Finalement, au bout d’un instant elle se recula légèrement avant de rigoler en s’approchant de mon oreille. « Demain je suis fermée… Mais là je suis ouverte, et je veux que la puissance de tes coups de rein et la taille de ta lance à plaisir m’ôtent la voix honey ! » me mordilla-t-elle le lobe de l’oreille avant d’arracher ma serviette. Nom d’un chien… Cette femme sera ma mort. « Montre moi qui est l’alpha » ajouta-t-elle avant de fondre sur mes lèvres en me mordant la lèvre inférieure. Oh chérie tu vas mourir avec moi… Je la rapprochai avec mes mains sur ses hanches et nous poussais tous les deux jusqu’à cogner contre la baie vitrée, mon entrejambe faisant clairement pression contre son entrejambe. Je pouvais presque la sentir mouiller à travers sa jupe. Jupe qui venait de tomber à cet instant precis. « Tu vas savoir qui est l’alpha. C’est peut-être le seul nom d’homme dont tu te souviendras demain » dis-je en grognant entre nos lèvres avant de faire glisse ma main jusqu’à son entrejambe.

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Cette femme sera ma mort. « Montre moi qui est l’alpha » ajouta-t-elle avant de fondre sur mes lèvres en me mordant la lèvre inférieure. Oh chérie tu vas mourir avec moi… Je la rapprochai avec mes mains sur ses hanches et nous poussais tous les deux jusqu’à cogner contre la baie vitrée, mon entrejambe faisant clairement pression contre son entrejambe. Je pouvais presque la sentir mouiller à travers sa jupe. Jupe qui venait de tomber à cet instant precis. « Tu vas savoir qui est l’alpha. C’est peut-être le seul nom d’homme dont tu te souviendras demain » dis-je en grognant entre nos lèvres avant de faire glisse ma main jusqu’à son entrejambe. Eirin balança sa tête en arrière, me laissant alors libre accès à son cou. Mes doigts caressèrent joueusement son entrejambe alors que ma bouche vint mordre la peau de son coup doucement. Elle lacha alors un petit couinement de plaisir avant de dire probablement la chose la plus sexy sur Terre. « Vai Luoja Peter… mmmh paska… tu es.. tellement doué.. Vuava.. laisse moi m’occuper de toi.. » murmura-t-elle en agrippant mes cheveux alors que je m’amuse lentement avec elle. Je veux la faire craquer, la faire crier mon nom et qu’elle en oublie son propre prénom.

Elle prit ma main et l’amena jusqu’à sa bouche avant de lecher mes doigts. Holy fuck. Je pensais pas que ce serait possible de bander plus que ça. La blonde descendit peu à peu le long de mon torse alors que sa main reposait à l’intérieur de ma cuisse. Jamais elle ne quitta mon regard si ce n’est juste avant de prendre mon membre dans sa bouche. Je lui lança un sourire en coin en haussant un sourcil joueur. Je lâchais un grognement alors que je passais une main dans ses cheveux, raffermissant ma poigne. C’est qu’elle était plutôt bonne à sucer la blondinette. Mon autre main alla s’appuyer contre la vitre alors que mes hanches se balançaient d’avant en arrière afin de rythmer les mouvements de tete d’Eirin. « T’y habitues pas trop chérie, c’est pas comme ça que ça se terminera » lui dis-je d’une voix rauque en la regardant dans les yeux.

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Elle prit ma main et l’amena jusqu’à sa bouche avant de lecher mes doigts. Holy fuck. Je pensais pas que ce serait possible de bander plus que ça. La blonde descendit peu à peu le long de mon torse alors que sa main reposait à l’intérieur de ma cuisse. Jamais elle ne quitta mon regard si ce n’est juste avant de prendre mon membre dans sa bouche. Je lui lança un sourire en coin en haussant un sourcil joueur. Je lâchais un grognement alors que je passais une main dans ses cheveux, raffermissant ma poigne. C’est vrai qu’elle était plutôt bonne à sucer la blondinette. Mon autre main alla s’appuyer contre la vitre alors que mes hanches se balançaient d’avant en arrière afin de rythmer les mouvements de tête d’Eirin. « T’y habitues pas trop chérie, c’est pas comme ça que ça se terminera » lui dis-je d’une voix rauque en la regardant dans les yeux.

Eirin continua de me sucer, jouant comme la Trikster qu’elle était. Je la regardais faire, une lueur brulante dans les yeux. Elle agrippa mes hanches en me faisant alors stopper mes mouvements. « J’espère bien ! » dit-elle en me taquinant le gland et j’haussais un sourcil joueur. Elle se relève lentement, passant sa langue sur mon corps. « Sinun vuorosi, fais-moi hurler de plaisir ! Kulta, j’ai toute la nuit devant moi… » dit-elle juste avant de fondre sur mes lèvres. Je répondis au baiser ardemment alors que je pouvais me gouter sur sa langue. Je passais mes mains le long de son corps avant de lui agripper les fesses et de la soulever. J’échangeais nos positions et la plaquais férocement contre la baie vitrée. Après tout, entre nous c’est sauvage, pas de douceur dans ce monde de sexe. Elle se frottait contre moi sans aucune gêne. Je laissais une trainée de baiser chaud et humide le long de son cou tout en lui mordillant la peau de temps à autre. Je m’amusais avec mon penis devant son entrée, me frottant contre elle avant de m’enfoncer en elle d’un coup. Je l’entendis gémir de surprise et un sourire s’affichait sur mon visage alors que je poussais des va-et-vients. « C’est ça bébé, laisse toi aller » lui murmurais-je d’une voix rauque.

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Eirin fondit sur mes lèvres et je répondis au baiser ardemment alors que je pouvais me gouter sur sa langue. Je passais mes mains le long de son corps avant de lui agripper les fesses et de la soulever. J’échangeais nos positions et la plaquais férocement contre la baie vitrée. Après tout, entre nous c’est sauvage, pas de douceur dans ce monde de sexe. Elle se frottait contre moi sans aucune gêne. Je laissais une trainée de baiser chaud et humide le long de son cou tout en lui mordillant la peau de temps à autre. Je m’amusais avec mon penis devant son entrée, me frottant contre elle avant de m’enfoncer en elle d’un coup. Je l’entendis gémir de surprise et un sourire s’affichait sur mon visage alors que je poussais des va-et-vients. « C’est ça bébé, laisse toi aller » lui murmurais-je d’une voix rauque. La blonde laissa s’échapper quelques gémissements, pour la satisfaction personnelle de mon égo. « Voi luoja Peter…» gémit-elle encore avant de venir mordre la peau de mon cou. Elle essayait de me marquer la coquine. On dirait bien que le trikster est possessive finalement, bien que cela ne soit pas une grande surprise.

Elle remonta ses baisers le long de mon cou alors que je continuais mes va-et-vients. « regarde… moi… » dit-elle, la voix entrecoupée de soupir. Je reculai ma tête légèrement, m’autorisant un coup d’œil à la femme devant moi. Elle était là, pénétrée, les cheveux collants à ses joues rosies, nue contre la baie vitrée. Ce genre de vision rendrait la vue à un aveugle, même si c’est juste pendant un instant. Je remontai alors mon regard dans le sien. Par-dessus mes yeux j’arrive alors à voir une vision d’elle à quatre pattes et moi derrière elle. Ma vue revient alors et je la vois sourire de plus belle. La coquine décidément, elle sait ce qu’elle veut. Je fais alors quelque chose qui pourrait être risqué pour un simple humain, je me laissai tomber en arrière lentement. Je retombais pas si durement que ça sur le dos, Eirin alors à califourchon sur moi. « C’est moi qui fait les règles sweetheart » lui dis-je d’un air mystérieux et dominateur. Si elle voulait quelque chose, elle allait devoir travailler pour l’avoir. Je posais alors mes mains sur ses cuisses et bougea mon bassin, comme pour la lancer, lui donner un indice.

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