Il prit l’une de mes mains pour la retirer de mon visage écarlate, il était doux et attentionné. Il ne voulait pas me blaiser mais dans sont regard j’avais perçut qu’il ne ressentait pas la même chose que moi. Il m’expliquait que si j’étais arrivé quelque jour plus tôt il serait entrain de m’embrasser à nouveau. Mais qu’à ce moment précis il ne pouvait plus car il n’était plus célibataire. Je me sentais encore plus mal, j’étais gêner et honteuse, mais a la fois jalouse de cette fille qui avait réussi a  l’avoir elle avait de la chance. Malgré mon découragement j’esquissais un Legé sourire pour lui montré que j’allais bien.

Elle a de la chance d’avoir un garçon comme toi j’espère qu’elle le sait.

Je m’efforçais de faire bonne figure, mais au fond de moi une chose s’étais brisé en mille morceaux, cette phrase ne cessais de me trotter dans la tête. « Tu sais si tu serais arrivée quelques jours plus tôt dans ma vie, je serais déjà en train de te rendre ton baiser... » je m’en voulais de ne pas être arriver plus tôt si j’avais su… Mais je ne perdais pas espoir qui sais un jour il viendra me trouver.

Ce n’étais pas un garçon comme les autres, il était gentil et prévenant avec moi. Il ne cherchait pas à profiter de moi ou de cette autre fille. Il se sous-estimait tellement que s’en était touchant. Une chose en moi étais casé, je n’avais jamais ressentis ça avant j’étais déboussoler. Quand soudains il m’attirait contre lui. Je savais qu’il ne voulait pas me blaiser mais se geste me brisais le cœur car je savais qu’il n’y en aurait pas d’autre je devais le savouré le temps qu’il durerait. J’enfoui ma tête dans sont torse et passa mes mains dans sont dos pour lui rendre sont étreinte.

" Oh crois moi je suis pas un cadeau"

Je ne pus m’empêcher de rire, si il savait a quel point il se trompait. Ce garçon valait de l’or. Il était simple, gentil, beau, sourient, drôle. Je me sentais en confiance avec lui. J’avais l’impression que je pouvais tout lui dire sur a vie que ça ne le ferais pas fuir. Moi non plus je n’en étais pas un, ou alors un cadeau empoisonné. J’étais toujours contre sont torse a écouter sont rythme cardiaque qui étais quel que peut rapide. Puis un sourire se dessinait sur mon visage.

Tu te sous-estime tellement Stiles.

Je voudrais que le temps s’arrête la a se moment précis, j’étais tellement bien a cet instant. Je pourrais rester comme cela des heurs. Je me sentais en sécurité dans ses bras.