CHAPTER ONE -Happy Ending Je m'appelle Chanel Hope-Esperance Garret J'ai toujours eu une enfance heureuse à Canberra en Australie. J'ai toujours vécu ici, et même si mes parents n'étaient pas riches, on a toujours eu ce qu'on voulait. Mon père était professeur d'Anglais, il adore son métier et passe beaucoup de temps avec ses élèves. Ma mère, une merveilleuse femme, douce, sympathique. Elle était dans la musique, c'est elle qui m'a tout appris, femme au foyer, elle chantait et dansait dans une compagnie sur Canberra, mais elle s'est reconvertie par la suite et elle est devenue la principale d'une école primaire à Canberra. Je passais beaucoup de temps avec elle. Mais je n'étais pas toute seule, mes parents, deux ans après, ont conçu un autre enfant et neuf mois plus tard, on a accueilli un petit garçon. Le pauvre, il n'a pas eu un nom très sympa, Simon moi le mien, je l'ai hérité de ma grand-mère qui est morte quelque temps avant ma naissance, je suis fière de porter son prénom parce qu'il parait que ma grand-mère était surprenante. Simon et moi, on a que deux ans d'écart donc on est un peu chien et chat, mais on s'aime beaucoup, mon frère, c'est toute ma vie, il est très important pour moi.
"MAMAAAAAAAAN Simon il m'a prit ma poupée" "Chanel arrête de crier sil te plait"
"Mais maman il m'a prit ma poupée" "elle m'a prit ma voiture" "Chanel rend lui sa voiture et toi Simon rend lui sa poupée et dépêchez-vous on va passer à table donc vous allez vous lavez les mains" "Tu me la rend tu as entendu" "Jamais" "
SIMOOOOOOON" "Nanaaaaaaaa". Quel chieur celui-là, il me l'a rendu sous la force, mais je l'ai récupéré sauf qu'il cherche encore sa voiture. Mais pourtant, je suis une fille douce, agréable, pas de problèmes, tout va bien, je suis très gentille, mais avec lui jamais. Vous voyez ce genre de relation ? Bah, elle ne s'est pas arrangée en grandissant.
"DOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNES" "NOOOON VIENS LA" "
SIMON TU VAS ME FAIRE TOMBER" "TANT PIS" Et voilà, résultat, je suis tombé sur le lit et lui aussi, on est parti en fou rire juste pour une bouteille de coca la dernière. Parfois on se dispute pour rien, juste pour le dernier cookie ou encore pour la boite de chocapik alors qu'il n'en mange pas normalement. On passe notre temps à se disputer pour rien, parfois, on se bagarre même. Une fois maman était partit à une de ses répétitions et on était tout seul à la maison, on a fait une bataille de bouffe et résultat la cuisine et la maison entière était dégueulasse, pleins d'œufs, de farine, tout coller et notre mère est arrivé au même moment, elle a glissé sur la flaque d'huile et elle s'est retrouvé par terre. On a était puni pendant un mois et on a du tout nettoyer. Des enfants, c'est tout. Mais pourtant, je suis une fille douce, agréable, pas de problèmes, tout va bien, je suis très gentille, mais avec lui jamais. "Chanel?" "Oui trésor qu'est-ce qu'il y a ?"
"Je n'arrive pas à dormir, j'ai peur de l'orage, je peux dormir avec toi" "Bien sur, viens". Je lui faisais une place dans mon lit et puis je le prenais, contre moi, dans mes bras et on s'endormait tous les deux très rapidement. Je suis sa grande sœur même si on est comme chien et chat et qu'on se dispute tout le temps, c'est mon petit frère et je le protégerais toujours.
CHAPTER TWO - Born to die
Mais en grandissant, les choses ont changé. On a tous les quatre grandis et les choses se sont compliquées, j'avais à peu près 12 ans quand cette horrible journée à eu lieu. C'était un jour d'automne, un jour pluvieux, on devait aller se balader avec des amis dans les bois, mais que Simon a pu y aller moi, je suis restée seule à la maison. J'ai regardé des DVD toute la journée et puis j'ai reçu un message de mon père puis on a vu les informations, tout s'est enchaîné, mon frère Simon a été tué par une bête sauvage. Mes parents ont agi différemment que moi, moi, j'étais sous le choc mais eux se sont déplacés immédiatement à la cave comme s'il y avait quelque chose de particulier. Je vous avoue que moi, je n'ai rien compris, j'étais jeune et innocente et la seconde d'après j'étais en colère, en deuil et dans le déni, avec des vérités devant moi que je ne voulais pas connaitre. Et pourtant aujourd'hui, mes parents venaient de nous annoncer qu'ils n'étaient pas ce qu'on a toujours cru, mais des chasseurs, des chasseurs de loups, loups garou. Je refusais d'y croire, je ne voulais pas me dire que c'était vrai. Mais pourtant ça l'était.
J'ai pleuré la mort de mon frère, je n'ai pas réagi comme tout le monde, moi, je n'ai rien dit, tout, c'est fait petit à petit dans les étapes dans l'ordre, mais toujours en silence. Je n'ai rien dit, je ne dis plus rien. Je ne sais pas si un jour, je pourrais affronter la mort de mon frère, mes parents sont prêts de reprendre leur première passion, la chasse aux loups. Ils ont un code d'après eux, ils veulent nous entraîner pour qu'on puisse se défendre nous aussi. Je sais plus comment tout gérer, disons que je ne suis pas prête de vouloir ça. Mais j'ai une telle rage contre ces bêtes sauvages que je pense que je pourrais les suivre dans leur passion de tuer ces animaux mais est-ce que je suis prête à tuer des gens je ne suis pas sur , car, mes parents disent qu'ils ne sont pas humains mais ils ont tout des humains pourtant.
Après tout ça, je me suis fait des amis filles et garçons, j'ai pu enfin libérer ma peine et profiter de la vie qui s'offrait à moi, j'ai fais pas mal de soirée de pire en pire d'ailleurs. Je suis de plus en plus doué avec mes poings et toute sorte d'armes. On doit respecter un code comme dit ma mère "Nous protégeons ceux qui ne peuvent pas se protéger eux-mêmes". Au fur à mesure du temps, je suis sortie avec mon premier copain, je suis sûr que mon frère ne l'aurait pas aimé d'ailleurs. Bradyn, il était le mec parfait, je l'aimais beaucoup mais au fur à mesure du temps il m'a révélé son secret, c'était un loup, ceux que je suis cencé ne pas apprécier et tuer. La vie ne me fait pas de cadeau, je vous l'assure. Mais Bradyn et moi ça n'a pas duré. On est resté amis malgré tout, une amitié particulière, je vous le confirme. Il m'énerve plus qu'autre chose parfois. Il s'est mis en tête de faire la guerre à Jamie un autre loup et c'est de pire en pire. Quand j'essaie de lui parler de ça, il change de sujet comme si quoi , que je dise là-dessus il ne changerait pas d'avis et n'écouterait rien. Je fais rien, car je ne veux pas qu'on se dispute et qu'il le fasse payer à Jamie. Vous trouvez vous aussi que je parle beaucoup de ce Jamie ? Je suis assez attirée par lui, on va dire, dès que j'ai croisé son regard, je suis tombé amoureuse de lui. Mais maintenant que je connais son histoire, j'ai envie de l'aider et de le protéger. Je ne ferais pas le premier pas vers lui, car je ne veux pas me faire rejeter, alors je pense qu'on peut attendre longtemps, je ne suis pas son genre de fille. Et puis s'il ne fait pas le premier pas, je le ferais même si je trouve que c'est beaucoup trop tôt. Cette histoire est encore dans le flou, je crois. Mais mes amis sont des loups garou et c'est pour les seuls que je ne tuerais pas, ce sont mes amis et je ne peux pas faire ça. Et lorsque mes parents l'on apprit un désastre pas d'autres mots. Tout tué Braydin Jamie, les deux tués devant mes yeux. Les seuls mots de ma mère furent :
« C'est comme ça qu'il faut faire. Ce sont des monstres... » Quand on perd quelqu'un des amis, c'est dur, mais lorsqu'on voit ça famille tuer les seules amies qu'on avait, c'est encore plus dur, on passe par le déni, la colère, la culpabilité, mais surtout la dépression. Moi, j'ai commencé par le déni, je voulais voir personne, cette phase à durer à peu près 3 mois, mes parents sont venus m'expliquer le fait que je suis une chasseuse, etc, mais je ne les ai pas écoutées... Pour moi, c'était inamissible. Puis je suis rentré dans la phrase colère, j'ai pété les plombs je leurs en voulez, c'était de leur faute et j'ai fini par essayer de me suicider et c'est mon père qui m'a trouvé. Cette phrase a duré 6 mois. J'avais seulement 16 ans. J'avais foutu en l'air tout une année de cours ce qui fait que j'ai dû redoubler ma seconde...
CHAPTER TWO - Hate You
Peu de temps après tout ça, peut-être 1 ou 2 ans après, je ne compte plus le temps depuis que mes parents on tué mes amis On a déménagé de Canberra, trouvant la pression trop forte là-bas , ils pensaient sans doute quant démangeant tout aller s'arranger. On a rejoint d'autres chasseurs à Beacon Hills. J'ai 18 ans ma mère a trouvé un post de principal dans une école primaire de la ville et mon père est professeur d'Anglais dans le lycée et forcément bah nous j'atterrit là aussi, je vais commencer ma dernière année au lycée.
J'en veux à mes parents, mais je leur parle pour le faire penser que tout va bien. Ils ne voient même pas que quelque chose à changer entre nous pour eux le déménagement à tout arranger mes à mes yeux ça n'as fait que l'empirer.. Ils me dégoûtent tout les deux ils pensent être les héros alors que ce ne sont que les tueur..Je m’entraîne à devenir une chasseuse, mais pas pour les mêmes raisons que mes parents... Dans à peine, une semaine, j'aller commencer ma première journée de Beacon Hills. J'étais loin de m'imaginer ce qui allait m'arriver croyez-moi...